Mois : mai 2013
Un an après le changement de gouvernement, qu’en est-il de la politique Open Data de la France ? Après une période de tâtonnements qui laissa la part belle aux interrogations, aux inquiétudes, voire aux suppositions délirantes, l’Open Data français et la mission Étalab semblent aujourd’hui reprendre progressivement leur rythme de croisière : des jeux de données importants sont publiés, une refonte de la plateforme data.gouv.fr est engagée et des chantiers prometteurs ont été annoncés.
Mercredi 15 mai, le ministère de la culture organisait la première journée Data Culture. L'objectif ? Introduire les cultures numériques en mobilisant l'open data au sein du ministère et auprès des services innovants. Retour sur les raisons d'être de la journée et focus sur l'atelier de manipulation de données publiques Data Cooking.
- L'Union européenne (UE) et l'interopérabilité - une histoire ancienne qui aboutit au programme actuel ISA (Interoperability Solutions for European Public Administrations) - L'UE et l'information gouvernementale avec Semic.eu (Semantic Interop. Community) et ADMS (Asset Description Metadata Schema) - Le W3C et l'information gouvernementale avec (entre autre) le vocabulaire DCAT (Data Catalog Vocabulary)
Projet de correction collaborative d'OCR et annotation collaborative sur les collections de Gallica.
Trois clés USB, dont l'une contient des renseignements classés «secrets», ont été égarées l'an dernier par le ministère des Affaires autochtones et du Développement du Nord (AADNC), ce même ministère qui assurait, il y a trois mois à peine, qu'il allait «revoir ses politiques pour éviter de perdre des documents à nouveau».
L’archivage électronique lorsqu’il s’intègre dans une solution de cloud computing n’est pas sans poser quelques problèmes de sécurité. C’est en ce sens que la CNIL (Commission nationale de l’informatique et des libertés) a communiqué des recommandations pour les entreprises souhaitant souscrire à des services à distance.