Catégories
Natalie Bissonnette

L’open data, c’est (aussi) de l’efficacité stratégique

Il ne faut jamais sous-estimer que l’administration elle-même est la première bénéficiaire de l’effort pour ouvrir, indexer et rendr…

Il ne faut jamais sous-estimer que l'administration elle-même est la première bénéficiaire de l'effort pour ouvrir, indexer et rendre exploitable les donées qu'elles détient. Ouvrir les données, c'est bien souvent ke moyen le plus simple pour construire un système d'information efficace.

Annotations:
  • L'open data ne vise pas seulement à rendre des comptes (même si c'est l'une des dimensions importantes de cette politique), mais aussi à libérer tout le potentiel possible des données utilisées par l'Etat.
  • Il s'agit de rendre les données les plus disponibles possibles, les plus vivantes possibles, les plus appropriables possibles, d'en susciter le plus de réutilisations possibles et de les partager avec le plus grand nombre.
  • Il ne faut jamais sous-estimer que l'administration elle-même est la première bénéficiaire de l'effort pour ouvrir, indexer et rendre exploitable les donées qu'elles détient.
  • Ouvrir les données, c'est bien souvent ke moyen le plus simple pour construire un système d'information efficace.
  • introduire plus de confiance et donc plus de solidarité au sein de sa propre organisation.
  • Considérer qu'il est normal de rendre des comptes, c'est nouer une toute autre relation avec l'extérieur.
  • De lui apprendre à identifier d'un coup d'oeil les données pertinentes ou, symétriquement, le potentiel d'un ensemble de données.
  • L'une de ces stratégies peut, par exemple, consister à produire les résultats souhaités en créant des référentiels permettant à chacun de s'organiser librement.
  • Ouvrir ses données, c'est aussi bien souvent faire le premier pas vers une stratégie d'open-innovation.
  • C'est un moyen de recruter des alliés pour prolonger et amplifier son action.

Tags: