Catégorie : Natalie Bissonnette
Annotations:
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Le traitement de l’information dans sa matérialité représente aujourd’hui au minimum 30 % du temps de travail d’un cadre.
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On est perpétuellement déconcentré dans son travail, notamment par la messagerie électronique.
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Le nombre d’informations disponibles au format numérique doublant tous les quatre ans, que restera-t-il comme temps de productivité d’un cadre dans dix ans ?
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La messagerie électronique a un effet enflammant sur les relations professionnelles.
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L’angoisse porte sur la multitude de choix. Le FOMO peut dégénérer en sentiment de rancune par exemple lorsqu’on imagine qu’on a été exclu parce que non informé d’une fête par exemple.
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La cyberdépendance toucherait 10 % des internautes.
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l’outil dominant en entreprise est véritablement la messagerie électronique.
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il faut respecter les règles d’usage de la messagerie électronique :
- le courrier électronique est fait pour transmettre de l’information de manière rapide ou pour prescrire un ordre dans le cadre hiérarchique.
- ce n’est pas l’outil de la négociation. Pour ce faire, il faut préférer le face-à-face ou le téléphone.
- ce n’est pas l’outil de l’urgence (téléphone ou face-à-face également).
- le temps de réponse à un courrier électronique est de trois jours et il faut le respecter. En pensant être plus performant, les personnes tentent de répondre de plus en plus vite, et tout le monde se cale derrière celui qui va le plus vite… Or le « plus disant » n’est pas le « mieux disant ». -
On peut améliorer utilement la gestion du courrier électronique en paramétrant son logiciel.
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je crois beaucoup aux solutions collectives en entreprise, car personne ne peut rester en retrait si tout le monde dans l’organisation répond dans l’heure.
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choisir et structurer son activité informationnelle, en construisant son propre système d’information personnalisé et individuel en fonction de ses besoins.
l’écosystème de l’information en entreprise ressemble bien plus à la bibliothèque cauchemardesque du roman Le nom de la rose qu’à un centre de données parfaitement bien organisées. L’informatique décisionnelle ou business intelligence en anglais réaliserait-elle des prodiges ?
Annotations:-
L’informatique décisionnelle ou business intelligence
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Produire une information exacte et complète à propos d’une situation ou d’un événement requiert la mise en relation de données et d’informations diverses et en provenance de différents systèmes et unités d’affaires.
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les organisations investissent davantage dans l’informatique que dans l’information.
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autant de valeur que celle qui se trouve parmi les données structurées et unifiées dans un entrepôt de données
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La mise en contexte des données est essentielle à une information de qualité.
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L’intelligence collective d’une organisation repose sur une approche méthodique de la gestion de l’information qui s’appuie sur des standards reconnus, comme les formats de métadonnées descriptives.
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L’informatique décisionnelle repose essentiellement sur des données structurées.
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Tant que les silos informationnels perdurent et qu’il n’y a pas de véritable culture de la gestion de l’information, l’informatique décisionnelle ne peut être vraiment efficace.
En novembre 2012, lors du Salon BI de Montréal, nous rencontrions Diane Mercier, chargée de projet principale en données ouvertes à la Ville de Montréal. Cette éminente praticienne des sciences de l'information nous expliquait en entrevue la distance qu'elle perçoit entre les préoccupations technologiques du monde de l'informatique décisionnelle et celles des gestionnaires de l'information, plus soucieux de culture organisationnelle et de pérennité des données que de solutions toutes faites. Dans la seconde entrevue, à paraître à l'occasion du Salon BI 2013, madame Mercier nous expliquera pourquoi le logiciel libre répond beaucoup mieux aux besoins concrets des organisations de toutes sortes, et notamment de celles qui prennent la responsabilité sociale et l'intelligence collective au sérieux. *Business Intelligence